Raphaël Esrail est arrêté en janvier 1944 à Lyon, emprisonné à la prison Montluc et transféré à Drancy. Déporté à Auschwitz par le convoi nº67, il est affecté à l’usine Union Werke. En janvier 1945, il est emmené dans les « Marches de la mort », puis transféré au camp de Gross Rosen…
Rencontre à l’occasion de la parution de « L’espérance d’un baiser. Le témoignage de l’un des derniers survivants d’Auschwitz »