En s’appuyant sur des outils littéraires, Les paradoxes de la mémoire de Philippe Mesnard revisite les questions mémorielles contemporaines habituellement réservées à l’Histoire, la sociologie ou les sciences politiques. Cet essai démonte pièce par pièce le discours mémoriel qui irrigue nos sociétés capitalistes avancées. Pour la première fois, les affinités entre mémoriel et humanitaire sont mises au jour. De même, des musées et des quartiers entiers sont interrogés sous l’angle d’une esthétique mémorielle dont ils sont les laboratoires.
Ouvrage paru aux Éditions Le bord de l’eau