Cinquante ans après les Khmers rouges, à l’exception de quelques sites mémoriaux comme Choeung Ek, les traces du génocide sont peu visibles dans les paysages cambodgiens. Dès lors, comment un paysage qui a connu des crimes d’une grande ampleur peut-il offrir une visibilité de l’Histoire ? Sous le commissariat de Soko Phay et de Patrick Nardin, l’exposition Les paysages-mémoires du Cambodge interroge la visibilisation de l’horreur que l’art rend possible dans l’après coup des événements.
Cette exposition sera visible du 15 avril au 4 mai au Forum des images. Entrée gratuite.
Manifestation organisée dans le cadre du Festival « Qui se souvient du génocide cambodgien? »